#23 – 29/02/2024 – Après la pluie, le beau temps.

Tu sais, parfois les planètes n’ont pas envie que tu kiffes. Elles se disent, à raison, que tu as trop poussé le karma dans ses retranchements et qu’à un moment donné, il faut passer à la caisse. 

Et bien, allez savoir pourquoi, les planètes m’ont refait crédit. Attention, on n’est pas sur un crédit Sofinco qui fait plaisir en période noire de crypto. Non, là c’est un petit crédit qui ne mange pas de pain, mais qui fait plaisir. 

Déjà, le beau temps est revenu. Terminado les nuages relous qui te font dire que la vie est une bitch, hola buenos días chicas qui bronzent sur la plage. Et ça, c’est mon dada. Pas en mode je sors dehors avec mon café et, du haut de ma terrasse, je mate comme un porc. Non, non. C’est plus en mode : je sors dehors avec mon café, et je regarde l’horizon. Si las chicas font partie de mon horizon ? Oui bah à un moment donné je ne vais pas leur demander de partir pour me laisser la vue ! #gentleman

Bref, niveau beau temps, c’est cool, Rafa a ressorti les enceintes et tout le monde est content. 

Et puis, le beau temps à l’air de donner des idées à d’autres.

Jeudi soir, 23h30.
J’étais tranquilou dans mon lit en train de regarder une autre saloperie sur Netflix. V’la t’y pas que je reçois un message de la chiquilla #2 qui me demande si je dors. Ni une ni deux, pas con, premier geste barrière : je vais me re-laver les dents, au cas où.
Puis, je lui réponds un bail mystérieux en mode « I’m just chilling. You ? ». Ça fait le gars mystérieux, sans prise de tête, qui vit sa Life quoi. Au début, j’avais hésité par « Je t’attends dans ma chambre », mais je me suis dit qu’il ne fallait pas trop abuser. Le karma est cool, mais son TPE n’est jamais très loin.

Bref, elle me répond qu’elle a envie d’une clope, et me demande si elle peut venir pour en fumer une.
OK, là je prépare des pétales de roses et une cartouche. 

On se retrouve au pied de ma porte à discuter. Elle m’explique qu’elle est allée chez un pote pour déjeuner à Santa Cruz et qu’à la fin du déjeuner, il a voulu la pecho. Elle m’explique donc qu’elle en a trop marre que tous les mecs veuillent dormir avec elle.

Là, je me dis que ça pue pour bibi.

Puis on continue à discuter et je lui propose de venir mater le film avec moi. Elle me répond « non, sinon je vais dormir ». 

Ok, deuxième red flag pour Bibi, il est temps de reporter ce combat à un autre jour. On a perdu une bataille, mais on n’a pas perdu la guerre.

Du coup, je lui dis quelques minutes plus tard que je suis fatigué et que je vais rentrer. Et là, merci karma, elle me dit « je peux te poser une question bizarre ? ». Je vous ne dirais évidemment pas ce qu’elle m’a demandé, mais disons que j’avais bien fait de ranger un peu l’appartement. 

Quelques jours plus tard, je me retrouve à faire un Padel avec 3 espagnols trop sympas (dont un qui avait une nonchalance à la Macron devant Poutine. À raison d’ailleurs, car il nous a déboîté). Avec mon coéquipier, on se rend compte qu’on a des potes en commun à Boca, donc on échange nos numéros. 

Quelques jours plus tard, il m’invite à jouer au Spike Ball sur la plage avec deux de ses potes.
Je vois ses deux potes arriver. Deux filles. Une espagnole, sportive, yeux bleus et pétillante.
Une autre, allemande, qui n’avait clairement pas envie d’être ici. Vous voyez un gamin qui boude et qui ne veut pas jouer à un jeu alors qu’il est à un goûter d’anniversaire ? Bah c’était la vielle Greta là. Insupportable, on est tous les 3 à fond et elle fait 0 effort. Putain, c’est pas l’envie de lui balancer des Bretzels à la gueule qui me manquait. Mais je suis civilisé je crois, donc j’essaye de la motiver comme je peux « Come on, you can do it. Yeah, so proud of you ». La meuf avait 40 ans bordel, j’avais l’impression de parler à ma Jean Mich’ quand il avait un coup de blues. 

Bref, à côté de ça, je trouve qu’une connexion sympa commence à se créer avec l’autre fille espagnole. Petits eyes contacts, petits smashs dans la gueule, bref un lien sportif et émotionnel se crée. Elle me dit qu’elle joue beaucoup au Padel. Ce à quoi je réponds : « Ah ouai ? Je cherche à jouer aussi. Tu sais quoi, donne moi ton numéro et on s’appelle pour une partie ». Allez hop, bravo à tous, c’est plié, numéro locké. 

Et bien figurez-vous que cette nouvelle chiquilla attendait un texto de ma part.
Comment je le sais ?
Je l’ai contacté quelques jours plus tard, et, il se peut qu’on se soit vu sans jouer au Padel…
Mais ça, ça fera l’objet d’un autre article si vous me répondez que vous êtes chauds en commentaire. 

Cet article ne sert à rien, mais si vous voulez recevoir une alerte lorsque je publie d’autres conneries, n’hésitez pas à me donner votre email ou numéro de telephone ici.

Bisous les bros <3